Skip to main content

Les offres d’un graphiste, éléments de périmètre

Le terme graphiste est assez générique et renvoie à une multitude de métiers et de compétences. Par exemple, l’atelier Charles & Paulette, graphiste freelance à Lyon, Mâcon et Bourg-en-Bresse, conçoit des identités visuelles, des logotypes, des chartes graphiques, des sites web vitrine, ce qui implique une multitude de savoir-faire.

On ne s’improvise pas graphiste, on se forme à l’être et on le devient par l’expérience.

Il y a des graphistes 2D, des graphistes 3D, des webdesigners, bref, pléthore de métiers parfois assez différents les uns des autres. Il n’est donc pas facile réellement d’apposer la seule étiquette de graphiste à un prestataire dans ce domaine de la communication.

Si je devais résumer le métier et globalement le processus de travail, je dirais qu’il y a d’une part la compréhension du projet (d’où un bon brief et une bonne communication avec le client, savoir poser les bonnes questions), puis la dure estimation du temps par rapport au projet formalisé (devis), la contextualisation du projet suivant un secteur, des tendances, l’histoire de l’entreprise, les besoins et préférences du client (tout en canalisant le client qui parfois se veut être graphiste à la place du graphiste), corréler le contexte « secteur-tendances-histoire et besoin du client-cible » avec les meilleurs choix graphiques (pertinence) et pour cela il faut se faire une veille constante des tendances graphiques (qui même si ce ne sont parfois que des modes, annoncent la voie à emprunter pour toucher la cible et ne pas être à l’ouest d’un projet). Il y a tout un travail de documentation et de benchmark avant la mise sur papier. Ensuite viennent les concepts graphiques qui viendront mettre en image les idées. Puis vient la notion de faisabilité et du comment faire pour aboutir à ce que l’on souhaite dégager. La notion de concept est très importante et l’argumentation autour des différentes pistes l’est tout autant (et pour cela il faut être en capacité à imposer différents points de vue). Il faut également de la patience car les réactions client sont parfois surprenantes et difficiles. Et enfin, les connaissances techniques type logiciels et standardisations des fichiers sont autant d’éléments à connaitre et à mettre en place lors d’un projet de création graphique.

Comment devenir graphiste freelance

La question scolaire est vaste et la réponse tout autant. On peut devenir graphiste en sortant d’une école d’art ou d’une école de communication.

On peut avoir fait 2 ans d’études comme 4 voire même emprunter la voie autodidacte. Il n’y a pas de règles et il n’est pas question d’en imposer.

Le portfolio, les réalisations personnelles et professionnelles sont le seul CV pertinent d’un créatif.

Pour la partie juridique et bien les statuts sont nombreux : statut MDA, entreprise individuelle, graphiste auto entrepreneur

Si vous souhaitez en savoir plus sur l’auto entreprise ou bien si vous voulez en savoir plus sur le métier de graphiste jetez un coup d’oeil à notre blog !