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La récolte des informations pour le magazine

Je souhaitais revenir sur les difficultés que rencontre bon nombre de professionnels avec leur client, concernant la conception de leur journal d’entreprise, en phase de récolte des informations.

J’en reviens notamment aux difficultés rédactionnelles qui sont très fréquentes : fautes d’orthographe, de grammaire, problèmes de relecture, envoi du .doc brute de fonderie (sans être passé par le correcteur Word), coquilles en tout genre…
Sans parler du manque systématique de connaissances des bases de l’image (je reçois la plupart du temps des miniatures et pourtant aujourd’hui n’importe quel smartphone d’entrée de gamme est capable de délivrer une image de bonne résolution).

Finalement, on perd beaucoup de temps(et d’argent) et j’ai l’impression que les règles de bons sens ne sont pas la culture de tous.

La responsabilité du graphiste

Me concernant, j’ai décidé depuis le début de mon exercice, de ne pas être responsable des contenus de mes clients – ce qui d’ailleurs croule sous le bon sens (le prestataire a suffisamment de ses propres responsabilités pour ne pas assumer celles des autres) : en terme de sujet de contenu, en terme de qualité rédactionnelle, en terme d’erreurs orthographiques et grammaticales, coquilles en tout genre…Parce que c’est trop facile de délivrer du contenu pourri et penser que le prestataire s’en contentera.

Cette disposition permet également de se prémunir contre la mauvaise foi de clients sans scrupules qui seraient facilement tentés de remettre la faute sur l’agence de communication à la moindre coquille.

La qualité des textes et des images fait la qualité du journal

Le prestataire passe beaucoup trop de temps à expliquer, convaincre, orienter, changer, répéter des notions de base que le client devrait déjà maîtriser. Cela fait perdre du temps et de l’argent et pour ne pas facturer ce temps supplémentaire, le prestataire le prend sur le temps de conception au détriment de la qualité du journal.

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